1 Timothée 2.11–15 11 Que la femme écoute l’instruction en silence, avec une entière soumission. 12 Je ne permets pas à la femme d’enseigner, ni de prendre de l’autorité sur l’homme; mais elle doit demeurer dans le silence. 13 Car Adam a été formé le premier, Eve ensuite; 14 Adam n’a pas été séduit, mais la femme, séduite, s’est rendue coupable de transgression. 15 Elle sera néanmoins sauvée en devenant mère, si elle persévère avec modestie dans la foi, dans l’amour, et dans la sainteté.
1 Timothée 3.11 Les femmes, de même, doivent être honnêtes, non médisantes, sobres, fidèles en toutes choses.
DESCRIPTION : Dans ce troisième message de cette série, nous examinerons les données bibliques concernant la place de la femme dans l’Église locale. Nous verrons pourquoi l’office d’ancien lui est interdit, nous évaluerons ce qui concerne l’office diaconal et la participation de la femme dans la vie de l’Église. Finalement, nous prendrons le temps d’étudier ce que l’Écriture dit concernant les épouses des officiers.
STRUCTURE
A. La femme et l’office d’ancien
B. La femme et l’office de diacre
C. La femme et la vie de l’Église
D. La femme d’un officier
QUESTIONS
1. Qu’est-ce que le contexte d’Éphèse nous apprend?
2. Quelles sont les interdictions et les raisons que Paul donne à la femme?
3. Qu’en est-il de l’office diaconal pour la femme?
4. Comment l’Église est-elle le lieu de la restauration pour l’homme et la femme?
5. Qu’est-il exigé en particulier des épouses des officiers?
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L’Église et ses officiers
Description: Série de 10 messages concernant les offices bibliques d’anciens et de diacres. (2018)
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Comment déterminer si 1Tim 3.11 parle d’une *femme ou d’une *épouse?
11 (*Les femmes ou *leurs épouses), de même, doivent être honnêtes, non médisantes, sobres, fidèles en toutes choses.
Strong G1135 : le mot grec est γυνή – gynē
Ex. : Gynécologue. (voir Wikipédia)
Gynē veut dire sexe féminin.
Étymologie : du grec ancien γυνή, gunê (« femme ») (voir gyne Wiktionnaire)
Mais Paul parle-t-il d’épouses de diacres ou de femmes (mariées, veuves, célibataires)?
Voyons quelques versets de Paul.
FEMMES = ÉPOUSES
Romains 7. 2 Ainsi, une femme mariée est liée par la loi à son mari tant qu’il est vivant; mais si le mari meurt, elle est dégagée de la loi qui la liait à son mari.
1 Cor 7.3 Que le mari rende à sa femme ce qu’il lui doit, et que la femme agisse de même envers son mari. 4 La femme n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est le mari; et pareillement, le mari n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est la femme.
Éphésiens 5.22 3 Que le mari rende à sa femme ce qu’il lui doit, et que la femme agisse de même envers son mari. 4 La femme n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est le mari; et pareillement, le mari n’a pas autorité sur son propre corps, mais c’est la femme.
FEMMES
Actes 1.14 Tous d’un commun accord persévéraient dans la prière, avec les femmes, et Marie, mère de Jésus, et avec les frères de Jésus.
1 Tim 2.9 Je veux aussi que les femmes, vêtues d’une manière décente, avec pudeur et modestie, ne se parent ni de tresses, ni d’or, ni de perles, ni d’habits somptueux, 10 mais qu’elles se parent de bonnes œuvres, comme il convient à des femmes qui font profession de servir Dieu.
Hébreux 11.35 Des femmes recouvrèrent leurs morts par la résurrection; d’autres furent livrés aux tourments, et n’acceptèrent point de délivrance, afin d’obtenir une meilleure résurrection;
^-^ Nous constatons que Paul ajoute un élément supplémentaire lorsqu’il veut nous faire comprendre qu’il parle d’une femme=épouse.
Un dernier fait à noter.
Si c’est vrai que Paul demandait aux femmes de diacres d’avoir les qualités exigées dans 1Tim 3.11, pourquoi n’a-t-il rien exigé des épouses des évêques (=anciens) dans les versets précédents? Car, les épouses travaillaient auprès de leurs maris apôtres (anciens=évêques).
1 Cor 9.5 N’avons-nous pas le droit de mener avec nous une sœur qui soit notre femme, comme font les autres apôtres, et les frères du Seigneur, et Céphas (Pierre) ?
Laissons le dernier mot à Luther.
«On a besoin de femmes pour faire face à la pénurie d’hommes, consécutive à la guerre. « L’ordre, la bienséance, l’honneur exigent que les femmes se taisent lorsque les hommes parlent ; mais lorsque aucun homme ne parle, il devient nécessaire que les femmes prêchent » écrit Luther en 1521, et cela définit la mentalité des Églises vis-à-vis des femmes dans la première moitié du XXe siècle. On a besoin d’elles, mais on va les laisser à ce qu’on estime leur place : celle d’aide pour la catéchèse, la diaconie en général et, à la rigueur, la prédication.»
Examinez toutes choses; retenez ce qui est bon.(1Thess 5.21)
Bonne réflexion!