|texte PDF|audio MP3 | suivre sermons via : iTunes ou RSS
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Plus
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
Je trouve les enseignements de M. Cyr très pratique pour notre vie de tous les jours et par le choix de ses mots et de ses exemples, on sait qu’il a vécu et expérimenté ce qu’il enseigne. C’est bénissant.
Cet enseignement est vraiment très profond. On cherche une vie abondante exempte de souffrance. Ce n’est pas la pensée de Dieu! Combien de fois devons-nous nous le rappeler dans une année. 🙂 Avant l’épreuve, ce discours peut sembler facile à suivre, nous sommes plein de bonne volonté, nous ne savons pas encore ce qui se cache au fond de notre cœur, mais lorsque nous sommes dans l’épreuve, que nous la subissons ou que nous en soyons la cause, les émotions nous emportent et notre cœur nous est pleinement révélé… ouf, ce n’est pas beau!
C’est là que le vrai test de foi commence et que d’attendre le secours du Seigneur, en sondant notre cœur pour éviter de tomber plus bas peut devenir difficile. Par contre, lorsqu’on attend, par la foi, nous sommes abondamment bénis dans notre être intérieur et celle-ci augmente. C’est une poussée de croissance qui fait souvent mal, mais qui est salutaire pour la suite de notre marche à la ressemblance de notre bien-aimé Sauveur. Merci pour cet encouragement!
Voici un passage qui, à mon avis, s’applique bien à cet enseignement:
« Nos pères nous corrigeaient pour un peu de temps, comme ils le trouvaient bon, tandis que Dieu le fait pour notre bien, afin que nous participions à sa sainteté.
Certes, au premier abord, toute correction semble un sujet de tristesse, et non de joie, mais elle produit plus tard chez ceux qu’elle a ainsi exercés un fruit porteur de paix: la justice.
Fortifiez donc vos mains défaillantes et vos genoux flageolants et faites des voies droites pour vos pieds, afin que ce qui est boiteux ne se démette pas mais plutôt soit guéri. Recherchez la paix avec tous et la progression dans la sainteté: sans elle, personne ne verra le Seigneur. » Hébreux 12.10-14