Lors de mon récent passage à Fort Worth au Texas, j’ai été interviewé par Guillaume Bourin du site www.leboncombat.fr à propos de la théologie des alliances.
Voici la liste des questions auxquelles j’ai répondues:
1- Notre sujet aujourd’hui est celui de la Théologie de l’Alliance. Qu’entend-on par là ? Pourquoi « Alliance » est-il au singulier là où il n’aura pas échappé au lecteur que plusieurs alliances sont mentionnées dans les Écritures?
2- L’alliance des œuvres est régulièrement remise en cause par certains théologiens. En ce qui vous concerne, vous tenez ferme! Quels éléments fondent votre adhésion à son existence ?
3- Quand commence l’alliance de grâce et comment se développe-t-elle vis-à-vis de la révélation progressive de l’histoire du salut?
4- Dans votre livre “The Distinctiveness of Baptist Covenant Theology« , vous avez choisi de vous focaliser sur une période bien particulière, l’Angleterre du 17e siècle. Pourquoi ?
5- Vous relevez certains éléments distincts entre les versions pédobaptiste et crédobaptiste de la théologie de l’alliance. Pouvez-vous nous en citer les principaux ?
6- En théologie biblique, on parle souvent de la place d’Israël dans l’histoire de la rédemption. Certains, en particulier les théologiens dispensationalistes, ont tendance à faire une séparation stricte entre les promesses faites à Israël, qui ne concerneraient qu’Israël, et celles accordées à l’Église. Qu’est-ce que la théologie de l’alliance met en avant sur ce sujet ?
7- Finalement, qu’est-ce qui change entre l’ancienne et la nouvelle alliance ? Qu’est-ce qui fait que la nouvelle alliance est bien « nouvelle » ?
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