Mes invités pour aujourd’hui sont Kathryn et Yves Alarie du ministère Torrents de vie qui vient en aide aux personnes aux prises avec des problématiques liées à la sexualité. Dans la conversation d’aujourd’hui, nous voulons nous intéresser à une de ces problématiques en particulier: la pornographie.
Avec l’érosion de l’influence chrétienne dans la culture occidentale, nous assistons à un raz-de-marée de la sexualité partout autour de nous. Il faut souvent littéralement se fermer les yeux si nous voulons conserver notre propre sexualité là où Dieu nous l’a donnée, c’est-à-dire dans le mariage.
La technologie combinée à la permissivité de notre culture a décuplé l’accessibilité et l’exposition à la pornographie. Le phénomène est tel que récemment un chercheur d’une université montréalaise qui voulait étudier l’impact de la pornographie chez les étudiants en comparant des consommateurs de pornographie à des non-consommateurs a dû contremander sa recherche parce qu’il a été impossible de trouver des étudiants qui n’avaient jamais consommé de pornographie.
Ce phénomène n’est pas sans conséquence et aujourd’hui nous désirons parler des causes et des effets de la porno, mais également des moyens de s’en sortir et de retrouver une pureté sexuelle. Nous croyons que beaucoup de gens qui sont aux prises avec ces dépendances en sont malheureux et que leur vie en est affectée. Nous espérons que cette discussion sera une bouffée d’air frais dans le contexte actuel et aidera plusieurs à comprendre le piège dans lequel ils sont tombés et comment s’en sortir.
Voici un lien pour obtenir plus d’information sur le séminaire consacré aux approches pastorales vis-à-vis des dépendances sexuelles et un lien vers le livre de Daniel Henderson: Clic, clic, clixxx: Le prix d’un regard
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En bonus: un reportage en anglais sur les effets dévastateurs de la pornographie.
merci
la dopamine est activée par la prise de risque, le sexe et les drogues. Le niveau de dopamine dans le cerveau des adolescents est différent des adultes. Les adolescents sont davantage sensibles aux effets plaisants de l’alcool, de la nicotine et des drogues ; moins sensibles aux effets déplaisants. Le cerveau des adolescents, de 11 à 19 ans, est donc particulièrement exposé aux risques de la dépendance.
La dopamine donne enfin envie de faire et d’expérimenter.
La caféine ou le chocolat sont deux substances légales qui influencent la synthétisation de dopamine. Le sport favorise aussi la fabrication de dopamine.
Or on sait que toutes les drogues qui créent une dépendance élèvent artificiellement la quantité de dopamine dans les circuits de la récompense. Il semble donc que la libération de dopamine informe l’organisme de la présence possible d’une récompense dans un environnement donné. D’où les efforts entrepris pour se procurer cette récompense. Et l’effet de renforcement au fil des prises.
Ces résultats suggèrent donc que la relation entre plaisir et dopamine serait plus complexe que ce qu’on avait d’abord cru…
En complément, je viens de trouver ce site qui compile les études sur les effets dévastateurs de la pornographie :
http://pornharmsresearch.com/
Merci frère, c’est bien apprécié
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